Et quoi de mieux pour débuter qu’une manche de Coupe du monde ? Le Grand Prix de Plouay et ses fameuses côtes de Ty-Marrec et du Lézo. En plus, en terres bretonnes, terres de cyclisme, là où j'ai épinglé nombre de dossards en amateurs. La course fut menée tambours battants et j'ai réussi à me maintenir dans le peloton de tête jusqu'à un tour de l'arrivée. Faute d'endurance, j'ai lâché, et terminé à une anonyme mais honorable 47e place. Je me souviens de l'atmosphère précédent la course, du trajet hôtel-course, du parking où l’on s'est garé avec le camping-car (et oui, pas de bus à l'époque !) et du passage au village-départ avant de signer la feuille d'émargement. Tout cela est resté gravé dans ma mémoire !