Mes orientations s'en trouvent modifiées et me permettent moins souvent de m'exprimer à titre personnel. Mais sur le Tour de Bavière, en mai, j'occupe le statut de leader de l'équipe et exploite la présence d'un contre-la-montre pour terminer quatrième de l'épreuve. J'arrive donc avec des repères à Lanillis avec l'envie de faire mieux que ma deuxième place de 2012, c'est-à-dire accrocher le titre. Ca ne s'est pas tout de suite passé comme souhaité : je suis tombé sur du très grand Sylvain Chavanel sur un chrono à sens unique. Il m'a mis la misère, il m'a même doublé. J'ai su rester concentré pour prendre la place de vice-champion de France, mais la déception dominait après l'arrivée. Faire deuxième à trente secondes ou à deux minutes, c'est vraiment différent.