Et bien sûr pour faire honneur à l'équipe de France. Mais j’ai eu du mal à me mettre dans le bon rythme. Au sommet du Cauberg, j’arrive à m’en sortir et je me classerai finalement 18e. De bon augure pour la suite de ma carrière dans cette spécialité. C’est clairement une source de motivation pour persévérer dans cette discipline. J'ai aussi eu la chance de courir l'épreuve en ligne pour notre leader, Thomas Voeckler. Initialement remplaçant, j'ai suppléé Jérémie Galland suite à sa fracture de la clavicule. Mon rôle était d'être présent à l'avant et ainsi de suivre les attaques durant la première moitié de l'épreuve. J'ai rempli mon rôle avant d'abandonner au bout de 200 bornes. La préparation du chrono m’avait limité au niveau de la distance de mes sorties d’entraînement.